
d'une rive à l'autre (1965)
La la la la la la
Je conduis d’une rive, rive à l’autre
Et j’écoute le vent chanter ça
Ce refrain que j’entends en miroir
Me fait revenir sans cesse sur mes pas
La la la la la la
Un coup d’vent il suffit et il sombre
Cet oiseau sur le pont est morose
Les fleurs qu’on dépose sur sa tombe
Sont la violette, le lys et la rose
Les oiseaux du paradis chantent en chœur à l’infini
Bercés par le vent, leur ami est parti
D’une rive à l’autre on les entend, écoute
Chut écoute et chut écoute, ils lui disent au revoir
amphithéâtre de rue
En travaillant dans l’ombre, l’araignée blonde tisse sa toile
Des milliers de pas de danse, les cadeaux des mages et une étoile
Elle sort au printemps, son instrument résonne au soleil couchant
Pas facile de vivre comme on l’entend à cause de la surdité des gens
Va jouer dans ‘rue comme une inconnue
Va jouer dans l’traffic une parfaite’ musique
La lumière sur les bâtiments fait de nos ombres des géants
En écoutant dans l’ombre, de vieux airs d’Aznavour et ses amours
Les gens se croient à l’abri de tous les maux, des mots et des vautours
Pourtant à chaque note l’espoir est d’aller visiter le temple sacré
Devenir un musicien pour jouer devant des gens, des silences travaillés
Va jouer dans ‘rue comme une inconnue
Va jouer dans l’traffic une parfaite’ musique
La lumière sur les bâtiments fait de nos ombres des géants
Quelqu’un un jour va les trouver
Ses jolies toiles dans l’ambre sont oubliées
Le destin des rêveurs entre les mains des riches
L’artiste qui triche est la meilleure, une millionnaire, une milliardaire, une zillionnaire !
Va jouer dans ‘rue comme une inconnue
Va jouer dans l’traffic une parfaite musique
La lumière sur les bâtiments fait de nos ombres des géants
Va jouer dans ‘rue comme une inconnue
Va jouer dans l’traffic une parfaite musique
La lumière sur les bâtiments fait de nos ombres des géants
el vieux maurice
Et le vieux Maurice, qui sent la pisse
Dans son manoir il broie du noir, y'é seul à soir
Pourtant la vue est belle, la lune est pleine, la vie est belle
Jusqu'à c'qui s'enfarge dans l'couloir
​
Ça sent l'calisse, dans son hospice
Une fois par terre, le dos su' l'terrazzo, y fait pas chaud
Y'a beau crier à l'aide, au s'cours, à droite, à gauche, en l'air
Personne ne vient l'aider, y'a pas payé l'impôt
​
Des gens comme ça, cé toi pis moi
Qui dans que'ques années, vont perdre pied
T'as beau avoir une foi immense
C'est surement pas ça qui va t'aider
​
Et le vieux Maurice, de son vivant
Avait beaucoup d'argent, des bagues en or, le Culinan
Une myriade d'enfants tous les dimanches le visitant
Su' l'bord d'la rivière il va mourir par terre
​
Des gens comme ça, cé toi pis moi
Qui dans que'ques années, s'ront déçus
T'as beau avoir une foi immense
C'est surement pas ça qui va t'sauver
​
Su' l'bord du St-Maurice, y'a plein d'hospices
Wifi, jeux d'société, à l'écart d'la society
D'la soupe au sel et des TV plasma au DEL
On en fait tu des miracles pour pas qui r'sentent leur âge
Des gens comme ça, cé toi pis moi
Qui dans que'ques années, s'piss'ront d'sus
T'as beau avoir une foi immense
C'pas ça qui va t'rapprocher d'Jésus
​
échos de l'anse-du-port
​Toi je t’aime à l’infini, le mauvais temps, les jours de pluie
L’écho du vent me berce le coeur, j’y comprends rien à ce bonheur
Toi je t’aime à l’infini, des millions d’arpèges pour toi ici
L’écho du lac qui nous protège, j’adore j’adore ce sortilège
Je quitte le port une fois pour toute, mon âme est libre est en Norvège
Une fois sur l’eau je sens qu’autour, les blonds ciels sont de retour
Mon âme vogue et n’prend pas l’eau, tous ces ruisseaux, ces jolis cortèges
Des milliards de cerfs-volants vont nourrir mes yeux d’enfant et bye bye la neige
Depuis l’Anse du Port jusqu’au bout du monde et encore et encore et encore
Depuis l’Anse du Port jusqu’au bout du monde et encore et encore et encore
Doux, respire le doux, le doux printemps
Pour toi juste pour toi, est de retour
Toi je t’aime à l’infini, ton joli visage, c’est beau la vie
L’écho des âges est sans frontière, seulement la paix, oublies la guerre
Toi je t’aime à l’infini, j’te donnerais tout, même ma guitare
Et cette si belle mélodie, nous bercera doucement à chaque soir
Depuis l’Anse du Port jusqu’au bout du monde et encore et encore et encore
Depuis l’Anse du Port jusqu’au bout du monde et encore et encore et encore
Doux, respire le doux, le doux printemps
Pour toi juste pour toi, est de retour
Doux, jusqu’au mois d’août, ce doux couplet
Pour toi et pour moi et pour toujours
​
Doux, respire le doux, le doux printemps
Pour toi juste pour toi, est de retour
Doux, jusqu’au mois d’août, ce doux couplet
Pour toi et pour moi et pour toujours
la cité des trois rivières
J’t’emmène à la sexy cité entr’ Québec pis Montréal-city si t’es là on peut s’arrêter Le temps d’une pinte de blonde ou d’un cigare
J’te f’rai visiter le temple-sacré-monkey-money, à côté d’l’île St-Quentin une candide cantine où c’est toujours chaud et ensoleillé
Tu peux aussi croiser les canots qui volent et recherche de jolies P’tites grenouilles qui aiment sauter en l’air tout près d’la Chasse galerie
Et c’est à la Fontaine du diable qu’on trouve les âmes de ceux et celles qui s’grisent à la Maison d’débauche le samedi dès minuit
C’est là voilà où on fait la fête tout l’temps avec les Frères houblon et les Sœurs grises et les Contrebandiers, Dionysos, feu le Satyre
T’es certain d’croiser l’Vieux Maurice au parc Champlain ainsi qu’la Sainte Cécile au parc des sœurs avec Stounsky et ses amis
La rue des Forges t’emmène d’un bord au Gambrinus pour la poutine, n’oublie pas d’y mettre le Poivre noir et la sauce à ‘bière
Direction Nord-Ouest rue Notre-Dame y’a les Festivaux du centro, y’a Frida Kahlo qui danse avec Dorval ainsi qu’le Vieux loup gris
Si t’évites l’Embuscade, tu peux entendre ‘Nelligan qui joue au Zénob des airs de Coltrane et Jobim, le grand Miles Davis et l’jazz funky d’Herbie
Si tu traverses D’une rive à l’utre, suivant les Échos d’l’anse-du-port, tu pourras admirer la cité 3r du phare qui n’existe pas encore
Au Cabaret tapis rouge ça bouge, à l’Archibald ça barde, au Cuisto resto lounge ça mange, la Barik c’est l’carrefour des bières magiques
Ceci étant dit qu’ça plaise ou non, très Gadjo-Stounsky-3R ou j’reste là dans mon salon, ici c’est très très très La cité des trois rivières
entre québec pis montréal
Prendre la 20 ou la 40
Pour faire du pouce, y’a rien qui m’tente
Faque j’t’aussi ben d’piquer ma tente icitte à soir
Le GPS s’est arrêté entre Québec
Pis MontréaAaAal EaAaAa
Prendre du vin ou que’ques 50
Et compter saoul les étoiles filantes
J’pense que j’suis perdu dans mes pensées icitte à soir
Mon esprit s’est arrêté entre Québec
Pis MontréaAaAal EaAaAa EaAaAa EaAaAa
Mort en vain ou vivant sans rien
Mon cadavre sur la chaussée est nu déchaussé
Mes Dr Martens dans la rivière icitte à soir
J’ai pas d’boussole ni d’septant, entre Québec..
Pis MontréaAaAal EaAaAa EaAaAa EaAaAa
gadjo 3r
Mayday mayday au bord de l’eau, des notes jazzées jusqu’aux restos, rendez-vous au port en fin d’journée
Les bateaux assis pour écouter, c’est sunny today, parfait pour jouer, les tsiganes en ville vont accoster
Oh gadjo tu joues de vieux airs
Oh gadjo des airs de Django
Un pêcheur bredouille ben patient, pêche à la mouche comme un manouche et les poissons dansent su’l’St-Laurent
Quelques notes d’accordéons, accords sixièmes neuvièmes y sont, une musique au fond d’l’océan
Oh gadjo tu joues de vieux airs
Oh gadjo des airs de Django
Oh gadjo libre comme l’air
Au jour le jour (x2) au jour le jour (x2) au jour le jour, gadjo 3R
Encore un jam et un billard, la huit au coin comme par hasard, tu tires et tu pointes comme un vieillard
Des peintures de nues en souvenir, une sirène qui chante tous ses désirs, au chant du morse et d’sa guitare
Oh gadjo tu joues de vieux airs
Oh gadjo des airs de Django
Oh gadjo libre comme l’air
Au jour le jour (x2) au jour le jour (x2) gadjo, gadjo 3R
la fontaine du diable
Écoutez-moi, gens de Trois-Rivières, on a la solution, à vos sales affaires
Écoutez-moi, gens de bonne guerre, ‘suffit de l’addition de quelques produits en mer
​
Un menu d’resto, le DSM en gros, les enfants jouent aux grands, à qui s’lèvent à temps
À chaque patho’ son eau, pas besoin de trop, l’équilibre c’est de tout et une gorgée surtout
D’abord le fluor, pour les dents et sauver du temps la matinée
Oublie de brosser, ‘suffit de rincer, l’eau c’est la clé d’une blanche citée
La Ritaline, la reine des vitamines, soigne la lune,encore distraite, v’là la nuit parfaite
Et le Prozac jusqu’à la retraite, ça détresse la maîtresse, moins d’enfants pour la leçon d’chant
​
En ajoutant un peu de lubrifiant, le taux d’population dépassera la pollution
On y mettra aussi du Seroquel pour la belle psychotique, et v’là sa pensée magique
Quand j’étais enfant, on allait là souvent, la fontaine du diable
Maintenant la flamme est remplacée par des eaux éthiques et pratiques
Et de l’Effexor, pour l’humeur du terroir, pas besoin de sourire, ‘suffit juste d’y croire
N’oublions pas, un peu d’aspartame, pour le bon goût sucré,et puis merde pour les dents salées
les festivaux du centro
Les terrasses des restos, le flambeau, les bateaux et les canots sur l’eau
Les oiseaux sont au rendez-vous, des voyous qui font du bruit pour vous & nous
Les pirouettes en vélo, les planches à rouleaux et les parcours de sauts
Pour les festivaux du centro y’a rien d’trop beau, ‘fait jamais assez chaud
J’prends des selfies de moi, de toi et des amis aussi
J’publie la vie que j’vis et j’dis c’que j’ai envie
J’prends un cocktail de fruits pétillant et j’mets du rhum dedans
J’fais c’que j’veux où j’veux quand j’veux, fais le avec moi
Les gestes des artistes, les artifices, les guitares et leurs bouches aux sons manouches
Les peintures de fauves, du bleu du jaune et du mauve, des beaux coups d’pinceau
Les gens se costument, se parfument, se hument et s’exhument, un sexy village !
Pour les festivaux du centro y’a rien d’trop beau, ‘fait jamais assez chaud
J’prends des selfies,de moi, de toi et des amis aussi
J’publie la vie que j’vis et j’dis c’que j’ai envie
J’prends un cocktail de fruits pétillant et j’mets du rhum dedans
J’fais c’que j’veux où j’veux quand j’veux, on l’fait toi et moi
Oh Oh Oh Oh Ooo
Oh Oh Oh Oh Ooo
Oh Oh Oh Oh Ooo
Oh Oh Oh Oh Ooo
On est tu ben à Trois-Rivières
Ça sent la fête dans l’atmosphère
On est tu ben à Trois-Rivières
Une tonne d’affaires, les nuits polaires
On est tu ben à Trois-Rivières
Le monde est beau, pas ordinaire
On est tu ben à Trois-Rivières
J’partage ma ville à toute la terre !
sainte cécile
Sainte Cécile, j’t’ai croisée rue des casernes, tu portais ton grand chapeau en berne comme dans les années trente’
Sainte Cécile, j’tai pas vue souvent à l’église, t’as prié à g’noux souvent grise sans ton amoureux le grand Marnier
Avant qu’on m’raconte cette histoire, avant les nuages sur ta paroisse
Avant les géants su’ l’St-Laurent, c’était d’mon quartier dont rêvaient les enfants
Ste-Cécile, mais où est passée ta jeunesse, disparue sous les caresses, une fille du roi, une fille de joie
Sainte Cécile, tu sais c’est ta fête aujourd’hui, tu peux compter 100 que’ques bougies et tu souffles sur ta nostalgie
Sainte Cécile, t’en rappelles tu d’ce garçon, tu rêvais à lui jeune et con, un brave homme toutefois, ‘a fait la guerre maintes fois
Le carburant qu’est l’amour te fait voyager aux alentours
Tes lettres sont envoyées sans adresse de retour
Sainte Cécile, t’as pas l’air si vieille que ça, p’t’être quelques rides et puis quoi et bien bravo pour tu sais quoi
Sainte Cécile, tu l’sais c’est toi ma valentine, pourtant j’te jure t’es pas toujours fine, une vraie princesse, ma vitamine
Sainte Cécile, tu prends tes ailes et tu t’rapelles, combien l’amour dans l’temps ‘tait bel, et comment pour oublier t’as fait ta belle
Le carburant qu’est l’amour te fait voyager aux alentours
Tes lettres sont envoyées sans adresse de retour
Et Sainte Angèle, tu joues du jazz en parallèle, j’y comprends j’y comprends rien à tes mesures hirsutes et un autre whisky pour passer la nuit
l'île st-quentin
Y’a des moments où j’me dis y’a personne
Qui me comprend dans la vie, j’les pardonne
Y’a des instants, mes amis me questionnent
Mais pourtant pas de réponse je leur donne
Je cherche dans l’sable, ‘cherche un sens à mon existence
Mon détecteur de métal, sonne pas souvent, c’est mental
Le dimanche, à l’île St-Quentin, y’a personne qui m’étonne
Le samedi, à l’île des jolies, le ciel bleu est merveilleux
C’est pas souvent qu’une belle fille abandonne
Le cadeau cher qu’elle rêvait qu’on lui donne
Suffit d’une vague pour se perdre dans le sable
Et l’on nourrit un oiseau qui s’ennuie
Je cherche une main qui a perdu le signe de l’amour
Mon détecteur de bonheur, sonne pas souvent, c’est l'malheur
Le dimanche, à l’île des vacances, y’a personne qui m’étonne
Le samedi, à l’île des jolies, les filles sont étourdies
C’est la bière et le soleil vert, les piercings, les nombrils
Pas facile à l’île St-Quentin, de trouver ma destinée
J’ai décidé de garder l’anneau d’or
Je vais le vendre et m’acheter un bateau
Et au bord de l’île de cette histoire
Je vais jeter mon ancre
Et attendre le destin
Et attendre un p’tit chien
Et attendre à demain
stounsky
Stounsky ! Stounsky ! Stounsky ! Stounsky !
Une jolie chatte de ruelle condamnée près d’Louis Pasteur
De Madrid à Bruxelles, elle rêvait d’un monde meilleur
Elle a lu son horoscope, ça disait profite d’la vie
Mais de ses trompes de Fallope, elle n'avait plus envie
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky !
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky !
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky !
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky s'est transformée !
Elle magasine un chirurgien pour la transformer en chien
Qui avec son bistouri lui construit une nouvelle vie
Ses espoirs très haut se hissent comme son nouvel appendice
Ses remords bientôt surgissent à travers un grand vomi
Elle se tranche le...
La chatte de cette histoire, elle ne s’en est pas remis’
Elle n’a fait que boire pour oublier sa triste vie
Elle a r’lu son horoscope, ça parlait d’changement de cap
Elle a trouvé l’idée géniale, de son corps elle change la map
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky !
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky s'est transformée !
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky !
Stounsky a pas d'appétit, Stounsky s'est transformée !
vieux loup
Ma maison c’est la culture, sur mes toasts d’la confiture
Et d’la musique sur une toile, pour moi c’est d’la peinture
J’pas un cowboy, j’pas un artiste, malgré ma poésie sous mon chapeau
Tu sais, j’su’ p’t’être quelqu’un d’triste
Ma maison c’est la culture et j’carbure parfois au vice
Ma prison c’est l’aventure, dans ma tête y’a qu’des pentures
Quand mon esprit s’évade au loin, à chaque refrain y’a trois p’tits points
Mort ou vif, oublie pas d’changer l’heure
Pour mettre du beurre s’a table, l’art cé pas d’l’or en barre
Sa silhouette au coin des rues Royale et des Forges
Le farwest pour toi mon ami, ben j’te l’dessine ici
J’t’un vieux loup solitaire au coin d’la rue des forges
Je forge mon caractère en porcelaine de Limoges
Mort ou vif, oublie pas d’changer l’heure
Pour mettre du beurre s’a table, l’art cé pas d’l’or en barre
Sa silhouette au coin des rues Royale et des Forges
Le farwest pour toi mon ami, ben j’te l’dessine ici
Le farwest pour toi mon ami, ben j’te l’dessine ici
Le farwest pour toi mon ami, ben j’te l’dessine ici
zénob
Au Zénob, les gens se disent bonsoir à tout hasard
Simplement, évidemment, avec Chamberland, confortablement
On parle de Duke Ellington pis de Django Reinhardt
Au Zénob, on entend des guitares jusqu’à ben tard
Gentiment, mélodiquement, avec les frères Leblanc, pinkfloydément
Y’a pas à dire, y’a du monde qui ’ont pas envie d’partir
​
Au Zénob, le monde se tient dehors, ‘fument des cigares
Allègrement, facilement, un nuage blanc, un peu tannant
Pis le mot de passe c’est Marjorie ou Danica
Au Zénob, on full le poêle encore et encore et encore
Calmement, une chaise su’ l’ciment, inexorablement, pis Rantanplan
Y’a d’la place pour moué pis toué pis ‘a terrasse est chauffée
Au Zénob, y’a du monde bizarre de tout ‘é bords
Périvoisément, spontanément, allô grand-maman, faut s’voir plus souvent
Viens-t-en au Zénob avec ton capitaine Morgan’